Muhammad Muhammad Fakak
2015 / 10 / 19
Khouribga – la république du plus grand,célébre, suprême épervier, de la révolution internationale Mohammed ibn Abdelkrim el
khat tabi, démocratique, libératrice, populaire avant – garde socialiste révolutionnaire indépendante unifiée :
Le 18.10.2015
La lutte de classe, entre le prolétariat et le régime royal auto théologique féodaliste, préhistorique, dans la société esclavagiste »
Ibn Asahara ibn Asahara Mohammed Mohamed ibn Abdel mati ibn el Hassan ibn Salah ibn Tahar Fakkak.
pourquoi nous avons décidé de renverser, anéantir le régime royal, « alaouite » réactionnaire préhistorique, dépassé , dépourvu de conscience nationale, de pensée conceptuelle, de capacité de prévoir les conséquences de sa politique dictatrice anti – nationale, anti- démocratique, anti- populaire, c’est – à – --dir--e effacer avec un ancêtre sultan individu, une personne volontariste qui, par le fait de prendre des décisions arbitraires, ne tient pas compte des lois objectives de l’histoire. ?
Un sultan qui n’a pas la prise de conscience de son être national, de son propre existence scientifique, philosophique de sa faculté de distinguer ce qui passe dans le Maroc, dans le monde environnant, devant, autour de lui.
Qu’appelle – t – on un sultan qui n’est pas libre, autonome --;-- indépendant qui a conservé les « cultes des autorités absolues, dictatrices, qui a commis des infamies, des erreurs mortelles, des trahisons de la cause nationale et palestinienne, qui est corrompus par l-injustice, l’inégalité, l’indignité, les déshonorâtes, les vices ?qu’appelle – t –on un « commandant des croyants » qui a pris notre évident ennemi israélien – sioniste, impérialiste colonialiste, et qui est devenu son camarade, son lié ,son ami fidèle de toute sa vie . Le sultan Mohammed six accomplissait avec entrain et sérénité, la maudite tache, la trahison mortelle de son père, Hassan deux l’assassin, le bourreau envers les causes nationales et arabes, comme s’il n’avait eu rien au monde de plus agréable pour ces sultan imposés que de servir l’ennemi, que de s’asseoir devant ses portes.
Le peuple marocain n’oubliera plus jamais le premier cri de triomphe, lorsqu’il chantait et rayonnait de joie, de bonheur, la fête pour la révolution --print--anière arabe du 20 février, il n’oubliera jamais ce que cette révolution avait été pour nous.
Chères Citoyennes, chers citoyens : tous à la joie pour la révolution, pour reconstruire la nouvelle république nationale démocratique populaire socialiste avant – garde révolutionnaire indépendante du notre grand héros, universel Mohammed ibn Abdelkrim el khat tabi. Toutes les marocaines libres, tous les marocains libres, lorsqu’ils repensent leurs républiques révolutionnaires, les larmes amères, chaudes, leurs reviennent aux yeux.
Comment et quand les marocains reviennent à la révolution et prennent immédiatement leur part du grand travail progressiste révolutionnaire de l‘internationale et aussi pour les activités révolutionnaires extraordinaires multiples ? quand et comment les marocaines et les marocains, chacun avait son coté favori, chacun selon sa nature, ses capacité, son génie, leurs volte – face, chacun discutait sur plus de choses que n’en rêve la philosophie de beaucoup de gens. Chacun consacrait la plus grande partie de sa vie à la révolution, aux langues, aux vocabulaires, aux grammaires, aux conjugaisons de la révolution. Chacun parlait de ce qui l’occupait principalement et de choses différentes et importantes. Quand pensons – nous que notre patrie est un asile et que nous sommes des exilés notre santé est ébranlée ?nous ne pardonnerons plus jamais la trahison, la fausseté de ces sultans « alaouites » néo- colonialistes, impérialistes – sionistes, qui n’étaient point vrais, fidèles envers notre patrie, qui ne trouvent aucune pitié auprès des misérables, des damnées, des dominés. Ces péchés pour le peuple sont impardonnables.
Nos héros comme Abdel Karim el khat tabi était le lion, le courageux, le hardi le plus exact, plus noble du monde, qui a plus que n’importe qui, un sentiment très vif du devoir et surtout de la discipline national envers le pays.
Qu’appelle – t- on un roi qui n’est pas capable de dépasser ses grands faiblesses, de tout comprendre, c’est – à --dir--e ses connaissances doivent être extraordinaires variées. ? Un sultan étranger, rien ne lui est national, démocrate, populaire, stratégie, tactique. Mais il est le général de l’armée néo- capitaliste, néo- colonialiste, impérialiste – sioniste avec une réputation, une signification plus étendue. C’est ce sultan qui --dir--ige l’orchestre des trahissants,des couples qui sont liés par l’ennemi impérialiste – sioniste. Une amitié, un rapport qui deviendrions historiques avec les sultans « alaouites » et leurs amis de cœurs, d’argente passion, les sionistes israéliens.
Jusqu au nos jours,nous ne trouverons pas des conditions qui nous permirent de se révolter, de se mouvoir plus librement contre ce régime, fonder un régime républicain, démocrate, déclarer la lutte de classe du prolétariat, toutes les mensonges, les calomnies sont tombées sur la révolution --print--anière marocaine du 20 février. Cette révolution plus énergique qui a venu de perdre beaucoup de ces initiateurs, secouer le vieux régime, déverser les flots de la rage du peuple opprimé et comporter tout un plan de réorganisation pratique de l’état, de la société, de la femme, de l’homme, et s’avancer toujours plus sur et certain de la victoire.
La révolution --print--anière arabe du 20 février qui cherchait les moyens de trouver, de mettre en jeu toute la force contre l’ennemi, adversaire commun, périssable intérieur, et extérieur, de rendre le Maroc pour le devenir rapidement de longue haleine une unité, une puissance internationale, une patrie plus jeune dans une société future.
La révolution est le vrai fils du grand Maroc, c’est un élément capital, et elle constitue d’une façon générale la première expression du peuple, si le peuple marocain pourra bien pensé. Si le prolétariat marocaine s’affranchira,, si la classe ouvrière du Maroc, de nouveau, se met en mouvement. Même si cette classe ouvrière est sans doute entravée par les classes dominantes, traditionnelles féodales, bourgeoises, conservatrices et libérales, islamistes, terroristes, obscurantistes, opportunistes, tyranniques, la classe ouvrière qui préserve, vivantes, les plus belles qualités des marocains, doit conquérir d’un pas lent et mesuré son émancipation à l’aide de tout le peuple, car le Maroc fut point de départ de la première révolution internationale du peuple ,le théâtre de la première grande victoire des révolution du monde.
Le grand épervier de la révolution internationale Mohammed ibn Abdel Karim el khattabi, qui a éclairé les esprits pour la révolution.
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2 Poêrmes : Saida Menbhi et Abdellatif Zeroual
25 décembre 2005
2 POÊ--;--RMES : SAIDA MENBHI ET ABDELLATIF ZEROUAL
LE MARTYR
Abdellatif Zeroual
Me voici, tombant sur la place
Je porte mon coeur comme une fleur rouge
Qui goutte à goutte se vide de son sang
Me voici nu, rampant parmi les morts
Je rassemble la force en moi
Pour saisir le drapeau déchiré
J attise avec mon sang
L étincelle ardente parmi les cendres
Me voici, payant le prix du sacrifice
Bénis ma mort, ô mon amour.
Abdellatif ZEROUAL : professeur de philosophie et membre de la --dir--ection
nationale du mouvement "Ila al-Amam", mort sous la torture le 14
novembre 1974, à "Derb Moulay Chérif", à Casablanca.
***************************
Poème de prison
Saïda Menebhi
La prison, c est laid
Tu la dessines, mon enfant
Avec des traits noirs
Des barreaux et des grilles
Tu imagines que c est un lieu sans lumière
Qui fait peur aux petits
Aussi pour l indiquer
Tu dis que c est là-bas
Et tu montres avec ton petit doigt
Un point, un coin perdu
Que tu ne vois pas
Peut être la maîtresse t a parlé
De prison hideuse
De maison de correction
Où l on met les méchants
Qui volent les enfants
Dans ta petite tête
S est alors posé une question
Comment et pourquoi
Moi qui suis pleine d amour pour toi
Et tous les autres enfants
Suis-je là-bas ?
Parce que je veux que demain
La prison ne soit plus là
Saïda MENEBHI : professeur d anglais, membre du mouvement
révolutionnaire Ila Al-Amam (En avant), arrêtée le 16 janvier 1976 à
Rabat. Elle subit des tortures physiques et particulièrement
psychologiques. Elle est jugée au procès de Casablanca de janvier 1977,
avec 138 autres inculpés pour atteint à la Sûreté de l É--;--tat --;-- elle
dénoncera entre autres la situation d oppression que subissent les
femmes au Maroc, (la salle l applaudit), Elle est condamnée a 5 ans de
détention, plus deux ans pour injure à magistrat. Elle est morte le 11
décembre 1977 (après 34 jours de la grève de la faim) à 25 ans à
l hôpital d Averroes.
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